Quand les jeunes participent activement à l’amélioration de la terre et de la sécurité

Dans l’idée de créer un lieu sûr permettant aux jeunes d’exprimer leurs opinions et leurs compétences, 15 jeunes entrepreneurs, simples militant-e-s, éducateurs et éducatrices, professionnels de l’environnement et étudiant-e-s se sont réuni-e-s pour participer au programme Emerging Leaders dans le cadre du Dialogue de Caux sur la terre et la sécurité (CDLS) en juillet.

Pendant ce programme de 5 jours, les participant-e-s ont interagi avec leurs homologues venu-e-s de différents pays. Ces échanges leur ont permis d’acquérir de nouvelles compétences et techniques de leadership, de faire du networking et d’échanger des idées sur des projets qu'ils montent dans leur pays respectifs. Ils ont également pu discuter de leurs projets avec des représentant-e-s du gouvernement, des ONG, des institutions internationales et du secteur privé, venu-e-s participer au CDLS, dans un espace où la hiérarchie n'existait pas.

Nhat Vuong, l’un des participant-e-s, a par exemple cofondé WaterInception, qui utilise des générateurs pour exploiter l’humidité dans l’air afin de produire de l’eau potable même dans les endroits secs comme les déserts. « J’ai créé cet organisme pour sortir de ma zone de confort », a-t-il confié. J’ai même réussi à rencontrer la ministre de l’environnement du Zimbabwe et elle a même montré un certain intérêt pour mon entreprise. »

Le programme a permis aux participant-e-s d’exposer des problèmes délicats dans un environnement sûr et sans jugement où des questions sensibles pouvaient être abordées indépendamment de leurs origines culturelles.

« C’est un environnement très accueillant, en particulier pour quelqu’un comme moi qui n’avait jamais quitté son pays avant » a témoigné David Kennedy, 23 ans, enseignant et éducateur de Melbourne, Australie, travaillant avec les indigènes. « J’ai rencontré des australiens ici me donnant le sentiment d’être comme à la maison, mais aussi des personnes venant de pays dont je n'avais même jamais entendu parler. »

L'étudiant en doctorat Kristian Grayson avait découvert l’existence du CDLS en participant au programme Sustainability Impact Mentoring, proposé par I&C Australie. Ce programme met en contact des jeunes professionnels ou étudiant-e-s travaillant dans le domaine de l'environnement avec des mentors expérimenté-e-s dans les domaines de l'environnement, du développement durable et du développement international.

Le programme a permis aux participant-e-s d’exposer des problèmes délicats dans un environnement sûr et sans jugement où des questions sensibles pouvaient être abordées indépendamment de leurs origines culturelles.

« C’est un environnement très accueillant, en particulier pour quelqu’un comme moi qui n’avait jamais quitté son pays avant » a témoigné David Kennedy, 23 ans, enseignant et éducateur de Melbourne, Australie, travaillant avec les indigènes. « J’ai rencontré des australiens ici me donnant le sentiment d’être comme à la maison, mais aussi des personnes venant de pays dont je n'avais même jamais entendu parler. »

L'étudiant en doctorat Kristian Grayson avait découvert l’existence du CDLS en participant au programme Sustainability Impact Mentoring, proposé par I&C Australie. Ce programme met en contact des jeunes professionnels ou étudiant-e-s travaillant dans le domaine de l'environnement avec des mentors expérimenté-e-s dans les domaines de l'environnement, du développement durable et du développement international.

« Ce que j'ai aimé avec les membres du groupe, c'est qu'ils sont très différent-e-s et qu'ils et elles sont chacun-e à des étapes très différentes de leur vie, mais ils ont tous et toutes cette passion commune », a-t-elle ajouté. En ce qui concerne les candidat-e-s potentiel-le-s pour 2018, elle a déclaré : « Vous ne devez pas nécessairement travailler sur quelque chose de technologiquement difficile ou qui vous rendra célèbre. Présentez-nous simplement une histoire convaincante ; montrez-nous que vous avez réfléchi à ces questions, que vous vous souciez de la terre et de la sécurité. »

Par Tiffany Choo, 2017 Communications intern